Mathias se promenait tranquillement dans les rues, quand soudain un jeune homme le bouscula. Il avait l'air pressé. Il lui cria par dessus la tête mais il l'ignora et continua à courir. Mathias continua sa marche dans la ville et aperçue un pancarte sur laquelle on signalait qu'il y avait un pick pocket qui rôdait dans la ville. Il y avait une image qui semblait représenter le fautif en question. Puis, il se rappela le jeune homme qui l'avait bousculé. Il venait de se faire avoir... Mathias se mit à courir dans la même direction que celui-ci s'était échapper. Il couru un instant puis s'arrêta à côté d'un vieille dame.
Mathias: Qui a-t-il Mme?
Madame: Je viens de me faire voler l'argent que j'avais dans ma sacoche. Je suis rentrer quelques instant et quand je suis ressortit, elle n'était plus là...
Mathias: Combien aviez-vous dans votre sacoche?
Madame: Quelques 500 écus.
Mathias: Je suis moi aussi à la recherche d'un voleur. J'ai vais attraper ce voyous et je vais vous rapportez votre argent.
Madame: Comme c'est aimable de votre part.
Mathias: Il n'y a pas de quoi.
Mathias se transforma en lion et se mit à courir dans la même direction. En un instant, il fut arriver au porte de la ville. Il se transforma en humain et s'adressa au garde.
Mathias: Pardonnez-moi de vous dérangez mais auriez vous vu un jeune homme, pas très âgé, avec une cape brune en vieux tissu et qui courrait à une vitesse hallucinante?
Garde: Oui, j'ai en effet vu une personne qui ressemblait étrangement à votre description. Il m'a dit qu'il était en retard pour aller voir sa grand-mère au village, à environ une demi heure d'ici.
Mathias: Je vous remercie monsieur et passez une agréable journée.
Mathias se dirigea vers le village e question. C'était le village de Serafew, un village ou le commerce était la seul chose d'attirante. Il devait sûrement être sous un contrat émit dans une des tavernes du village. Sous sa forme de lion, le voyage dura deux fois moins de temps qu'avait prédit le garde. Il se retransforma sous sa forme d'humain et se promena dans le village, les sens aux aguets. Il vit au dernier instant le voleur entrer dans un bar au coin de la rue. Mathias se dirigea vers le bar en question et y entra. Un fois entré, il aperçue le jeune voleur, assis à une table avec un autre homme. Mathias interrompit le discussion et s'adressa au voleur.
Mathias: Excusez-moi mais je crois que vous avez quelque chose qui m'appartiens.
Le voleur fit le saut lorsqu'il vit Mathias se tenir devant lui.
Voleur: Vous devez sûrement me confondre avec quelqu'un d'autre parce que je ne vous ai jamais vu...
Mathias: Ne joue pas au malin avec moi, je sais très bien qui tu es et tu sais très bien qui je suis.
Voleur: Je vous assure que non m'sieur...
Mathias l'agrippa pars le chandail. Le silence régnait maintenant dans le bar et tout le monde les fixait, attendant impatiemment la suite.
Mathias: Tu es celui qui m'a volé ainsi qu'une vielle femme là-bas, à Emblem City.
Figurant1: Un voleur, ici?
Tavernier: Et dire que je le trouvait sympathique....
Mathias: Maintenant tu va me redonner ce que tu m'as pris à moi et à cette vieille dame.
Le voleur lui donna un coup de pied sur le tibia, qui le fit lâcher prise. Le voleur courut du plus vite qu'il put hors du bar. Mathias lui emboita le pas. Une course folle émergea dans les rues du petit village. Après plusieurs minutes, Mathias réussi enfin à le faire trébucher. Le voleur s'étala de tout son long.
Mathias: Ça c'est à moi.
Il prit le petit sac d'argent.
Mathias: Et ça c'est à la vieille dame.
Il prit la sacoche contenant les 500 écus.
Mathias: Et que ne te vois plus jamais volé sinon tu vas avoir à faire avec moi.
Mathias sortit du village et s'en retourna à Emblem City. Une fois arriver, il alla voir la dame qu'il avait rencontrer plus tôt dans la journée. Il cogna à la porte de la petite maison. La femme lui répondit et aussi tôt un grand sourire s'afficha sur son visage ratatiné.
Mathias: Madame, j'ai....
Madame: MA SACOCHE!!!!
Elle lui prit des mains et la serra dans se bras.
Madame: Merci jeune homme, je vous suis infiniment reconnaissante.
Mathias: Il n'y a pas de quoi...
Mathias, fier de lui, circula dans la rue le restant de la journée et profita du beau temps.